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Dans un peuplement enrésiné artificiellement, il y a plus de quarante ans, puis abandonné rapidement à son sort, on observera les interactions actuelles entre  essences introduites survivantes et arbres autochtones apparus depuis. La primeur des résultats chiffrés exposés par le CRPF fixera les idées sur le constat visuel du cocktail végétal en présence, sous l’œil intéressé du propriétaire. On pourra ensuite, même sans chiffres à l’appui, voir aux alentours ce que donne la colonisation naturelle, survenue en l’absence d’intervention humaine, sous un climat local qui favorise le frêne… On pourra même faire quelques mesures de surfaces terrières, de hauteurs, et en déduire des quantités approximatives de carbone séquestré ! Constats porteurs d’espoirs ou d’inquiétudes ? Les débats seront riches en ces derniers jours de l’été du calendrier !